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Attestation sur l’honneur

Déroulement des échanges lors de l’audience du 12 Juin 2025 au tribunal pour enfants, 10 cours du Palais à Privas, Ardèche, France

Moi, Véronique, Raymonde de Perpignan, atteste sur l’honneur que le dialogue ci-dessous a eu lieu le 12 Juin 2025 au 10, cours du Palais à Privas, dans le cadre de l’affaire frauduleuse, illégale, interdite et condamnée par le tribunal populaire des droits de l’Homme depuis le 11 juillet 2024, l’affaire :  DEPARTEMENT ARDECHE/MME MORATA. Ces échanges sont la transcription du dialogue enregistré pour ma sécurité et ma protection. Je précise que j’avais adressé un rapport avant l’audience indiquant tous les éléments de loi et de droit ainsi que les démarches déjà achevées me permettant de repartir le jour de l’audience avec ma fille, et avec un document signé de la main de MME BESNIER mettant un terme au kidnapping et à la séquestration de Heitiare depuis le 7 juin 2024. Ce rapport avait été produit pour que l’affaire soit rapidement classée, puisque sans réel fondement.

Présents :

MME BESNIER ayant intégré la franc-maçonnerie à l'issue de cette audience, au 12ième degré "Guerre à la propriété sociale", par sa participation au maintien de la séquestration de Heitiare , juge des enfants pour TRIBUNAL POUR ENFANTS de Privas

MME BREHAULT ayant quitté la franc-maçonnerie au 28^ième degré "Glorification du naturalisme" après sa participation à la séquestration de Heitiare avec le premier jugement du 19 juin 2024, greffière pour TRIBUNAL POUR ENFANTS de Privas

MME LAVERGNE, greffière stagiaire pour TRIBUNAL POUR ENFANTS de Privas

MME MARION ayant quitté la franc-maçonnerie au 23^ième degré, éducatrice Enfance Les Vans pour SERVICE ENFANCE SUD-OUEST / DEPARTEMENT DE L’ARDECHE

Véronique, Raymonde de Perpignan, l’Etre Humain non juridique mère de Heitiare, Sara, juriste, fondatrice et formatrice à Nation des Etres Humains Sur Terre N.E.H.S.Terre.

Horaire : de 11h15 à 12h environ

Déroulement de l’entretien :

Les dialogues ci-dessous sont la retranscription de l’enregistrement audio de l’entrevue.

 

• Euh…on y va pour Heitiare ? (MME BESNIER)
• Bonjour (Véronique)
• Bonjour (MME BESNIER)
• Vous êtes qui ? (Véronique)
• La juge des enfants (MME BESNIER)
• Bonjour, je suis Dame Véronique, je suis la maman de Heitiare, je suis un Etre Humain qui n’est pas dans votre groupe des PERSONNALITES JURIDIQUES
• Vous venez à l’audience ou pas ? (MME BESNIER)

« Elle te prend pour une imbécile et Je n’aime pas ça » (message canalisé de Dieu)

• Donc vous n’avez pas l’autorité, ni sur ma fille, ni sur moi.
• Vous venez à l’audience ou pas ? (MME BESNIER)
• L’audience ? Vous ne pouvez pas la faire avec moi, comme moi je ne peux pas interagir avec vous
• D’accord (MME BESNIER)
• On a une autorité commune qui est l’Etre Suprême. C’est votre autorité. C’est Dieu-Tout-Puissant. J’ai la même autorité que vous et nous ne pouvons pas interagir
• Vous venez à l’audience ou pas ? (bis) (MME BESNIER)
• Vous ne pouvez pas interagir avec un Etre Humain
• Non, on ne peut pas interagir avec vous. MME MARION (ndlr : la femme qualifiée d’éducatrice dans le système), on y va ? Si vous ne venez pas à l’audience, vous ne venez pas à l’audience. Je crois que je ne vais pas discuter avec vous. (MME BESNIER)
• Je suis Dame Véronique, la mère de Heitiare
• Eh bien, si vous êtes la mère de Heitiare, vous venez à l’audience. Si vous n’êtes pas la mère de Heitiare, vous pouvez sortir (MME BESNIER)
• Vous me considérez en tant qu’Etre Humain et en tant que Dame Véronique ?
• En tant que mère de Heitiare (MME BESNIER)
• ou en tant que MME ?
• En tant que mère de Heitiare (MME BESNIER)
• Je ne suis pas MME MORATA et vous ne m’appellerez pas, dans aucun document, MME MORATA
• Il y aura un juge-ment, ça sera MME MORATA (MME BESNIER)
• Laissez-moi réfléchir deux secondes
• A partir du moment où en va en salle d’audience, c’est en étant la mère de Heitiare (MME BESNIER)
• La mère de Heitiare n’est pas MME MORATA
• D’accord (MME BESNIER)
• La mère de Heitiare, c’est moi, c’est Dame Véronique, c’est Véronique, Raymonde l’Etre Humain avec des droits
• Je vous laisse réfléchir, je reviens dans 5 minutes (MME BESNIER)
• Je reviens dans 5 minutes aussi.

 

• C’est bon ? (MME BESNIER)
• Je suis la mère de Heitiare
• Ouais (MME BESNIER)
• Je suis Dame Véronique
• Okay (MME BESNIER)
• Je m’appelle Véronique, Raymonde
• On va aller parler de Heitiare, c’est ça le plus important. Euh…la deuxième porte au fond à gauche s’il-vous-plait (MME BESNIER)
• C’est ici ?
• Oui (MME BESNIER)
• Bonjour
• Bonjour (greffière MME BREHAULT)
• Bonjour (greffière-stagiqire MME LAVERGNE)
• Allez-y, asseyez-vous (MME BESNIER)
• On va voir
• Comment ? (MME BESNIER)
• On va voir, si j’ai mal aux jambes ou pas, si j’ai besoin de marcher… Merci de votre sollicitude (Véronique restera debout tout le long de l’échange)
• Alors…Euh…Moi, je m’appelle CLEMENCE BESNIER…Euh……MME la greffière, qui est présente, et qui est …euh …assistée…euh… euh…d’une autre greffière. … (propos inaudibles) parler de Heitiare (MME BESNIER)
• Moi, je vais présenter ma pièce d’identité, qu’on parte sur des bonnes bases, qui sont la Vérité et la Loi
• Vous avez reçu la convocation ou pas ? (MME BESNIER)
• La convocation au nom de (Véronique montre avec le doigt le nom de la personne MME MORATA sur la convocation)…et bien…une personne que je ne suis pas
• Mais ça, c’est la bonne adresse, ça (MME BESNIER montre avec le doigt l’adresse mentionnée sur la convocation) (MME BESNIER)
• Pas du tout. Et ça, c’est ma pièce d’identité, la seule sur laquelle il y a à peu près la Vérité (Véronique montre son acte de naissance annoté). Donc moi, je suis Véronique, Raymonde, et toutes les mentions marginales, je n’en veux pas
• D’accord (MME BESNIER)
• Je ne vis pas en marge de la société, moi
• Okay (MME BESNIER)
• Moi, je vis dans le cadre
• Okay (MME BESNIER)
• Et dans le cadre, il y a « Véronique, Raymonde », donc s’il-vous-plait, vous m’appelez « Véronique », « Véronique, Raymonde » « Dame Véronique » comme vous voulez, mais vous m’appelez « Véronique ». Dans tout ce que vous voulez m’appelez, vous m’appelez « Véronique ». Et surtout pas ce qui est dans la marge
• Je peux en faire une copie ou pas ? (MME BESNIER)
• Vous en avez 10 millions, de copies… Donc, ça, c’est la seule pièce d’identité que j’utilise (…)
• Ok, ça marche (MME BESNIER)
• (…) parce qu’il y a une partie de la Vérité dedans
• Et l’adresse à laquelle vous vivez, c’est celle-ci ou pas ? Est-ce que c’est le 18 chemin de l’école à Montselgues ? (MME BESNIER)
• Je vous ai écrit que j’avais une nouvelle maison qui est en Bretagne qui attend Heitiare et dont vous avez l’adresse.
• Mais est-ce que vous y vivez ou pas ? (MME BESNIER)
• Eh bien j’y vais, là. J’attends Heitiare pour y aller. Donc, j’attends votre document (…)
• Ok (MME BESNIER)
• (…) pour que je puisse aller dans ma maison avec Heitiare
• Ok, ça marche (MME BESNIER)

« Tu ne t’es pas servi de tout le bon travail que tu as fait entre les deux « audiences ». Tu n’es pas allée jusqu’au bout » (message canalisé de Dieu) https://placedeshumains.com/index.php/notifications-publiques/1495-jugement-dernier-et-mandat-d-arret

• Et en tant que Dame qui a retiré la Vérité d’un acte de naissance, ma pièce d’identité maintenant c’est celle-là ; c’est celle où il n’y a que les données légales de l’acte de naissance (Véronique montre sa carte d’identité légale, légitime et de droit émise dans la Nation des Etres Humains Sur Terre ou N.E.H.S.Terre). Tout ce qui est…
• Tout ce qui est en marge, vous l’avez retiré, et maintenant, c’est celle-ci. Ok. Ça marche. (MME BESNIER)
• Et tout ça, vous l’avez déjà (Véronique fait allusion à l’acte de naissance et à la carte d’identité)
• Comment on fait pour communiquer avec vous ? (MME BESNIER)
• Vous le savez, vous avez mon email
• Euh… (MME BESNIER)
• Moi je suis là pour une seule chose. Premièrement, je ne vous raconterai pas ma vie familiale, intime, parce que j’ai des droits. Je suis là pour faire valoir mes droits, et je suis là pour que la loi soit respectée. Et normalement, vous n’avez même pas … (propos inaudibles)
• Moi, ce qui m’intéressait, c’est que vous puissiez rencontrer Heitiare (MME BESNIER)
• Mais moi, ce qui m’intéressait, c’est que vous fassiez respecter la loi !

« C’est bien, tu as de la répartie » (message canalisé de Dieu)

• Et la loi, elle est là pour me protéger, et pour protéger mes droits et ceux de Heitiare. On a des droits familiaux.

« Là, c’est bien, tu refixes le cadre, l’objectif de l’ « audience » » (message canalisé de Dieu)

• Et vous en faites quoi, justement, du droit de la voir (…) (MME BESNIER)
• Ah mais je ne veux pas la voir, je veux la prendre ! Elle est à moi. J’ai l’autorité parentale, j’ai des droits familiaux. J’ai des droits naturels. J’ai des droits qui sont sacrés. Je n’ai pas commis de délit. Je n’ai pas commis de crime.
• Oui, mais pour que Heitiare puisse vous revoir, qu’elle puisse vous reparler... (MME BESNIER)
• Heitiare ? Elle vit avec moi.
• Oui, mais… (MME BESNIER)
• Heitiare ? Vous allez écrire que sa mère a des droits sacrés qui nous viennent du Créateur et que personne n’a le droit de me les enlever. Ils sont inaliénables. C’est la Déclaration des Droits de l’Homme (D.D.H.).
• Oui (MME BESNIER)
• Inaliénables, on ne peut pas les donner à Alien. Alien, c’est le système. Le système et moi, on n’est pas dans le même groupe. Le système…

« Pourquoi tu n’as pas plus développé l’illégalité du système et de la justice, comme tu l’avais fait à MME CANAVERO lors de la première « audience » ? Cette jeune « juge », elle, ne savait pas cela » (message canalisé de Dieu)

• Avant de repartir avec Heitiare en Bretagne, avant ça… (MME BESNIER)
• Donc avant que mes droits soient respectés et que la loi soit appliquée à 100%
• Eh ben appliquons la loi française (MME BESNIER)
• La loi qui protège mes droits
• Oui, qui protège vos droits, qui protège les droits de tout le monde et qui essaie de fonctionner comme ça (MME BESNIER)
• Les droits de Heitiare avec les droits de l’Homme

« Tu aurais dû lui faire la leçon sur la différence entre le 18 mai et le 19 mai 1972, ce qui s’est passé à chacune de ces deux dates » (message canalisé de Dieu)

• Je peux juste vous dire une chose, c’est que Heitiare a demandé de pouvoir vous voir. (MME BESNIER)
• Heitiare, elle veut vivre avec moi. Heitiare et moi, on est une famille.
• Vous êtes sa mère. Là-dessus, il n’a aucun doute et c’est ce pour quoi nous sommes là (MME BESNIER)
• Oui, et on a des droits familiaux et ils sont sacrés !
• Pour qu’on y aille juste dans le bon ordre, pour qu’on y aille juste petit à petit, on a besoin que vous puissiez voir Heitiare dans un lieu…bah…où il y a d’autres personnes, d’autres adultes (MME BESNIER)
• Pour quoi faire ? Pour quoi faire ?
• Parce que ça fait un an que vous ne l’avez pas vue (MME BESNIER)
• Mais vous me la rendez, puis c’est réglé. Elle est à moi. J’ai des droits. Ils sont sacrés et inaliénables. Vous les avez volés. Vous êtes coupables. Vous êtes complices. Il faut réparer, maintenant. Mes droits familiaux (…)

« Plus vous obéissez aux règles de l’ombre au cours des kidnappings et séquestrations d’enfants, plus ils font du mal à vos enfants car ils savent qu’ils ont votre consentement implicite » (message canalisé de Dieu)

• Madame… (MME BESNIER)
• (…) sont sacrés. On ne peut pas me les enlever.
• D’accord. Mais je, je… (MME BESNIER)
• Je n’ai pas commis de délit, de crime.
• On ne fera pas le retour de Heitiare comme ça, d’un coup, d’un seul. (MME BESNIER)
• Et pourquoi ? Vous l’avez bien prise comme ça, d’un coup d’un seul ! Sans rien !
• Mais parce que … (MME BESNIER)
• Aucune preuve !
• D’accord (MME BESNIER)
• Et l’article 1353 du code civil, on en fait quoi ? Celui qui dit que celui qui…
• Je suis plutôt sur le 1375, moi. (MME BESNIER)
• 1353 : « Celui qui exige doit prouver ». Vous m’avez prouvé quoi ?
• (inaudible) 1375 et suivants du code civil. On est sur le même code mais on n’est pas sur le même…Euh… (MME BESNIER)
• Eh bien, « Celui qui exige doit prouver ». J’attends les preuves. Ça fait un an que vous l’avez (ndlr : l’ = Heitiare)
• Votre fille n’allait pas très très bien, votre fille n’allait pas très très bien quand on l’a récupérée. (MME BESNIER)
• Ma fille, elle en a marre de vous. Ma fille, elle en a marre d’être dans ce système et elle a envie d’être avec moi.
• Votre fille a besoin de vous voir petit à petit. (MME BESNIER)
• Eh bien vous écrivez qu’il y a erreur de jugement, parce que je l’ai montré par moult critères, il y a des tonnes de raisons que le jugement est hors-la-loi.
• D’accord. (MME BESNIER)
• Donc vous rectifiez le hors-la-loi et vous me faites un document maintenant qui dit : « Oups ! On s’est trompé ! Il n’y a pas de délit. Il n’y a pas de crime. Il n’y a pas de raison de retirer l’enfant à la mère ». D’ailleurs, le droit, il est inaliénable. Vous comprenez le mot inaliénable. On ne peut pas l’aliéner. Il est sacré. Il est dans mon sang, il est dans son sang. On ne peut pas retirer les droits sacrés. C’est les droits qui nous viennent du Créateur, l’Etre Suprême. L’Etre Suprême, c’est votre Autorité. On a la même Autorité. Dieu a dit : « Le lien mère-enfant est sacré ». Vous êtes en train de le violer. Faîtes attention à ce que vous allez écrire parce que vous allez être complice aussi de la première année (ndlr : la première année passée de force séparée physiquement de sa mère). Vous allez être complice selon ce que vous écrivez.
• Moi, j’attends juste que vous me disiez le jour où vous serez prête à voir Heitiare avec une autre personne (MME BESNIER)
• Pour quoi faire ? Vous ne m’avez pas répondu.
• Mais pour y aller petit à petit avec votre fille. (MME BESNIER)
• Mais ma fille ! Mais ma fille, ça faisait huit ans et huit jours qu’on était comme ça (Véronique montre deux doigts de sa main entrecroisés, son index et son majeur) en couple, je veux dire en binôme. Ma fille et moi, on est un binôme. On bosse ensemble, j’ai même envie de vous dire.
• Du coup, vous préférez couper… (MME BESNIER)
• Non ! Vous allez me la rendre ! Vous allez écrire que sa place est avec moi parce que je n’ai rien fait !

Véronique à la greffière principale :

• Ah ! Je me rappelle de vous ! C’était déjà vous l’année dernière. MME… Euh… (ndlr : MME BREHAULT)

 

• L’enjeu, c’est de savoir si est-ce que… (MME BESNIER)
• Il n’y a pas de raison que vous la gardiez.
• D’accord. Est-ce que vous appliquez les décisions qui s’imposent à vous, oui ou non ? (MME BESNIER)
• Il n’y a aucune décision que vous puissiez m’imposer. Vous n’avez pas l’autorité sur un Etre Humain. Je suis un Etre Humain.
• D’accord. (MME BESNIER)
• Je vis sans PERSONNALITE JURIDIQUE. Je vous l’ai montré. Je ne suis pas dans le groupe du système.
• Heitiare, tout à l’heure, ce qu’elle a pu nous demander, c’est : « J’aimerais bien voir sa mère et que vous caliez les jours où je puisse voir ma mère ». (MME BESNIER)
• J’habite en Bretagne. J’attends ma fille pour aller vivre là-bas. J’ai la suite de ma vie là-bas.
• Donc je ne pourrai pas faire un truc qui dise que MME voit… ? (MME BESNIER)

« Elle tente de négocier avec la Lumière. Tu as bien réagi. On ne tergiverse pas avec la Lumière » (message canalisé de Dieu)

• MME n’existe pas !
• Oui, alors je vais quand même me reprendre. Je ne peux pas écrire quelque chose en disant que : « La mère de Heitiare voit sa fille Heitiare…» ? (MME BESNIER)
• Je n’habite plus ici ! Nous n’habitons plus ici ! Nous avons un logement qui nous attend en Bretagne pour la suite de notre vie ! Vous n’avez aucune raison de garder ma fille ! Sa place est avec les droits familiaux de sa mère ! Et elle a des droits familiaux sur moi, et j’ai des droits familiaux sur elle ! Qu’est-ce que vous entendez, là ? Ils sont sacrés, ils sont dans la D.D.H. La D.D.H., c’est la Loi de Dieu dans la loi des Hommes. Vous n’avez pas l’autorité sur les Etres Humains. Dieu a l’autorité sur vous. Dieu a l’autorité sur les Etres Humains. Et Il a dit que les droits familiaux sont sacrés et inaliénables. Vous n’avez pas le droit de les aliéner et c’est ce que vous êtes en train de faire. Faites attention à ce que vous allez signer.

« Tu es comme Jeanne d’Arc devant ce tribunal ecclésiastique. C’est Moi qui ait parlé à travers elle, comme J’ai parlé à travers toi lors de cette « audience » » (message canalisé de Dieu)

• Est-ce qu’il y a d’autres choses que vous voulez ajouter…euh… que ce que vous avez mis dans votre rapport (ndlr : MME BESNIER fait allusion à la lettre recommandée avec AR du 10 juin 2025 de Véronique à MMES/MM. BESNIER, DEPRADE, RISTERUCCI, BONHOMME et BIENKO VEL BIENEK, 8 pages, ainsi que ses 5 pièces jointes, dans l’affaire de la captivité arbitraire de « Heitiare, Sara » https://www.placedeshumains.com/index.php/notifications-publiques/1698-courrier-suite-invitation-par-mme-besnier-qualifiee-de-juge-pour-enfants-dans-le-systeme-a-une-audience-le-12-juin-2025-concernant-la-detention-en-captivite-arbitraire-de-heitiare-sara-nee-le-30-mai-2016 ) ? (MME BESNIER)
• Non. 
• Non ? (MME BESNIER)
• Non, non.
• Ok (MME BESNIER)
• Heitiare a une place à côté de moi. Sa place est à côté de moi. Heitiare, sa place est là, à côté de moi (Véronique montre l’espace vide à côté d’elle) parce que c’est écrit dans la loi et que la loi protège mes droits et mes droits sont sacrés, inaliénables. Je tourne en boucle, là.
• Vos droits … (MME BESNIER)
• Je tourne en boucle. Mes droits sont sacrés et inaliénables
• Vous voyez... (MME BESNIER)
• Vous attendez quoi ?
• Vous voyez que ça tourne en boucle.(MME BESNIER)
• Vous attendez quoi ?
• Ben qu’on arrête de tourner en boucle (MME BESNIER)
• Et bien écrivez ! « Oups ! On s’est trompé ! Cette dame n’est pas dans notre groupe » Le groupe des PERSONNALITES JURIDIQUES, c’est pas moi. Je ne suis pas une PERSONNE PHYSIQUE. Je ne suis pas cette MME.
• D’accord. Mais Heitiare, elle est un peu dans notre groupe, là. (MME BESNIER)
• Non, Heitiare c’est pareil que moi. Elle aussi, elle a son acte de naissance sans PERSONNALITE JURIDIQUE.
• Pourquoi je ne l’ai pas, l’adresse de Bretagne ? (MME BESNIER)
• C’est dans un email.
• Eh bien pourtant, ce n’est pas faute de les imprimer et de les regarder et de lire. Mais je ne l’ai pas. (MME BESNIER)
• Donc, la maison, elle est à 1, Lesneut, 29710 Plozévet.
• Ok, c’est le Finistère, ça. (MME BESNIER)
• Donc, vous comprenez bien que ce n’est pas parce que vous avez décidé, le système, de me voler ma gosse, que ma vie va s’arrêter.
• Et maintenant, vous vivez tout le temps, tout le temps, tout le temps, tout le temps là-bas ? (MME BESNIER)
• Non, je ne suis pas…J’y vais là. Avec Heitiare, j’y vais. Heitiare, sa place est avec moi. On a une maison, on a de l’argent, on a de l’Amour, on a un lien de sang, j’ai l’autorité parentale, j’ai des droits sur elle, elle a des droits sur moi. Elle a le droit d’avoir une mère. Elle a le droit d’avoir une famille.
• Elle demande..., elle a besoin d’avoir un lien avec vous. (MME BESNIER)
• Elle a le droit d’avoir une mère. Et bien ?
• Ce n’est pas qu’elle a le droit d’avoir une mère, c’est qu’elle a une mère. (MME BESNIER)
• Elle a le droit d’avoir des liens avec moi.
• Pour le moment… Ce n’est pas qu’elle a le droit d’avoir une mère, c’est qu’elle a une mère. (MME BESNIER)
• Elle a des droits familiaux. J’ai des droits familiaux. Ils sont sacrés. Personne, personne ne peut les enlever. Ça nous vient de Dieu.
• Donc, discuter avec le service, signer les documents … (MME BESNIER)

« Tu vois, ils ont besoin de ta signature pour se couvrir, mais ils ne l’auront pas » (message canalisé de Dieu)

• Pour quoi faire ?
• Les documents dont il y a besoin... (MME BESNIER)
• Les documents de quoi ? Au nom de MME MORATA ? Vous ne comprenez pas ? Je ne suis pas cette personne.
• Ah oui, c’est vrai. (MME BESNIER)
• Il y a deux groupes
• Oui (MME BESNIER)
• Le groupe du système et le groupe des Etres Humains, et vous et moi on ne peut pas communiquer. Et d’ailleurs, vous n’avez même pas le droit d’avoir ma gosse.
• D’accord. (MME BESNIER)
• Vous êtes hors-la-loi, vous appliquez des…je-ne-sais-quoi…C’est hors-la-loi. Il n’y a qu’une Loi : la loi protège mes droits et mes droits sont sacrés. Droits familiaux…sacrés, Liberté d’élever ma fille moi-même. Vous me la rendez. A 100%. Il n’y a pas de visites. Il y a : « Vous me la rendez parce qu’elle est avec mes droits familiaux ».
• Si je mets des visites, vous n’irez pas ? (MME BESNIER)
• Je n’habite pas ici. J’habite en Bretagne. Je l’attends pour partir. Je l’attends pour partir.
• Pourquoi vous partez en Bretagne ? (MME BESNIER)
• Parce que la suite de ma vie se passe là-bas. J’ai des choses à faire avec le peuple Breton. Et la place de ma fille, c’est avec sa mère. Cela vous paraît normal, ou pas ?
• Ah, que le peuple breton vous a…vous a appelé ? Cela me paraît important. (MME BESNIER)
• Non, que la place d’une fille, c’est avec sa mère !!
• Oui, ça me paraît nécessaire. (MME BESNIER)
• Pas de délit, pas de crime. Innocence. Sur tous les plans, je suis innocente.
• Ok (MME BESNIER)
• Alors ? Alors ? Vous faîtes quoi ? Ben vous me la rendez. Alors, vous prenez contact avec votre hiérarchie, là.
• Moi, je n’ai pas le droit de vous donner des ordres, mais vous, par contre vous y allez (MME BESNIER)
• Vous prenez contact auprès de qui vous voulez, d’ailleurs.
• D’accord. (MME BESNIER)
• Et puis quand vous avez l’autorisation de me faire un beau papier, ben vous me l’envoyez.
• Eh ben on va faire ça ! (MME BESNIER)
• Alors, est-ce qu’il est prêt ? (Véronique avait mis dans sa lettre du 10 juin 2025 qu’elle repartirait de l’audience avec Heitiare et qu’un document devrait lui être produit pour mettre fin à la séquestration de sa fille par le système)
• Non, il le sera demain. (MME BESNIER)
• Donc, il me faudrait un papier qui dit…
• Ben vous le recevrez. (MME BESNIER)
• …qui dit bien qu’il y a erreur de vous. Je ne suis pas dans le groupe du système. Heitiare et moi, on est les pionnières qui sont allées dans le groupe qui est vide et qui attend tout le monde : les Etres Humains Sur Terre.
• J’écris mon papier demain et vous le recevrez la semaine prochaine. D’accord ? (MME BESNIER)
• Donc je compte sur vous pour faire appliquer la loi, puisque vous avez le titre de juge dans le système. Donc normalement, vous êtes là pour faire appliquer la loi et la loi, je ne vais pas vous l’apprendre, c’est pour protéger mes droits. Article IV de la D.D.H.

« Comme ça, tu as la preuve qu’ils ne sont pas là pour faire appliquer la loi mais pour l’enfreindre à leur avantage. C’est pour cela qu’il faut se cantonner à la D.D.H. car toute Ma Loi y est » (message canalisé de Dieu)

• Je vous laisse y aller ? (MME BESNIER)
• Non, c’est le V. Les lois sont faites pour interdire de nuire et les lois sont faites pour me protéger ou me punir si j’ai nui. Mais je n’ai pas encore les preuves (ndlr: preuves d'une potentielle nuisance).
• Je n’ai pas dit que vous avez commis de délit … de crime non plus. Je prends ma décision, j’écris mon papier demain, comme vous dîtes, et vous le recevrez dans la semaine prochaine. (MME BESNIER)
• Vous m’envoyez un email, que je le reçoive aujourd’hui ou demain ?
• Ben aujourd’hui non car je la rends demain. Et ça ne sera pas par email. (MME BESNIER)
• Ben j’attends ma fille pour prendre la route.
• Ben vous le recevrez la semaine prochaine. (MME BESNIER)
• J’attends ma fille pour prendre la route Ça veut dire que là, je paye. Là je paye une location, là.
• Hum, hum. (MME BESNIER)
• Ça veut dire que les frais, je vais vous les répercuter.
• Ok (MME BESNIER)
• Parce que ma maison n’est pas ici mais en Bretagne.
• Oui (MME BESNIER)
• Et c’est la maison de Heitiare.
• Ok (MME BESNIER)
• Donc, si vous voulez bien m’envoyer le plus rapidement possible par email
• (inaudible) à la nouvelle adresse (MME BESNIER)
• Et c’est l’adresse de Heitiare.
• D’accord. Donc maintenant, on retient l’adresse de Bretagne, on est bien d’accord ? Dans le Finistère ? (MME BESNIER)
• Heitiare et moi on habite là-bas. Je redis l’adresse si vous voulez : 1 Lesneut 29710 Plozévet. Donc, vous ne m’amadouez pas avec « Heitiare a besoin de voir sa mère ». Heitiare vit avec sa mère. Heitiare vit avec sa mère. Parce que c’est la loi, c’est le droit, et j’ai rien fait.
• Mère d’Heitiare, merci d’être venue. Bon retour. (MME BESNIER)
• Donc, demain, je vous relancerai pour l’email.
• Je vous dis, vous ne l’aurez pas par email. Vous l’aurez par la voie postale. (MME BESNIER)
• Non, c’est trop loin.
• Nous on n’est pas (inaudible) de vous l’envoyer par email. (MME BESNIER)
• Et pourtant, la convocation, je l’ai reçue hier par email…avant-hier.
• Ok (MME BESNIER)
• Donc, vous l’avez fait une fois, vous le ferez bien deux fois.
• (inaudible)
• L’adresse à laquelle vous avez envoyé la convocation, celle qui est écrite dessus, ça fait plus d’un an que je n’y suis plus.
• D’accord. (MME BESNIER)
• Et vous aviez la bonne adresse.
• Ok. Eh ben maintenant, on envoie tout alors en Bretagne. (MME BESNIER)
• MME BESNIER, faîtes du bon travail de la loi et des droits !
• Bon retour. (MME BESNIER)
• Au revoir.
• Au revoir.
• Au revoir.

 

Fin de la retranscription de l’échange entre MME BESNIER et Dame Véronique de Perpignan.

 

Je suis consciente qu'une fausse déclaration m'expose à des poursuites.

 

Autographe :

(Empreinte digitale à l'encre rouge)

Véronique, Raymonde

née le 18 Mai 1972 sans statut juridique/PERSONNALITE JURIDIQUE afin de préserver tous droits humains naturels

dite :

Dame Véronique de Perpignan

Fondatrice de la :

Nation des Etres Humains Sur Terre

1 rue Emile Borel - 66750 Saint-Cyprien

(Véronique Raymonde)

Article 6 D.U.D.H. 1948

et de son :

Tribunal légitime garantissant,

les droits humains naturels

Droits de l'Homme

Nation des Etres Humains sur Terre

En présence et sous les auspices de l'Etre Suprême, omniprésent, omnipotent, omniscient.

 

Pièce jointe : enregistrement audio des échanges

https://www.youtube.com/watch?v=HLMsvGxRt5U&t=1012s