Démarche vers la sécession
Rédigé en langue française le 20ème Jour du mois de mars 2022
1 – Présentation
2 – Portée de la déclaration
3 – Constatations
4 – Déclaration
Présentation
Je, soussigné, Jérôme, anciennement nommé Jérôme Dominique de la famille Mercier par « oui-dire », sain de corps et d’esprit, proclame par la présente déclaration que je suis un être humain fait d’os de chair et de sang, qui vit et qui respire.
Je dois la vie au Créateur de toute choses par l’intermédiaire de mes parents. J’ai vu le jour le 18ème jour du mois d'octobre 1958 à Versailles (78). La preuve de ma naissance a été déposée auprès de la Common Law Court le 3 mars 2021 sous la référence : BC/21/410404.
Par mon baptême sous le nom de Jérôme, je fait partie de l’Assemblée Universelle des frères de Jésus Christ, Fils du D.I.E.U Vivant. Le baptême dans l'eau et le feu au nom du Père, du Fils et de l'Esprit me fait participer à la royauté de Jésus Christ, je proclame mon existence vivante dans son Royaume par sa très Sainte Miséricorde. Je tiens ma souveraineté du Créateur. Le Vatican n’a aucun droit de propriété sur mon être de chair, d’esprit et d’éternité.
Cette existence me confère des devoirs :
- Le respect des 10 commandements tels qu'ils sont écrit dans la Bible hébraïque.
- L’application au quotidien, dans ma vie de tous les jours, de l’enseignement de Jésus Christ, fils du Créateur, en vue de l’avènement de son Royaume.
- Le devoir inconditionnel d’aimer en vérité tout être humain comme moi-même, sans jugement ni condamnation. Ce qui sous-entend : ne pas nuire à autrui, ni à ses biens, ni a son être.
- Le devoir de mettre les talents dont je suis le dépositaire au service de tous les hommes pour la plus grande gloire du Créateur.
Mais aussi :
- Le devoir de rejeter et de révéler toutes les œuvres qui conduisent l’homme à se comporter de façon inappropriée, lui faisant perdre sa dimension de fils de D.I.E.U, lui interdisant de rentrer dans la plénitude du Royaume en subissant la seconde mort.
Portée de la déclaration
Ce document doit être impérativement pris en compte par les autorités dites légales. Il a une véritable valeur juridique. Tout être vivant qui viendrait à manquer de respect à mon être et à ses choix risque de devoir s’en justifier devant le Créateur lui même.
Constatations
l’État français est une société inscrite au registre des société depuis 1947 sous le nom de « RÉPUBLIQUE FRANÇAISE PRÉSIDENCE » SIREN : 100 000 017, D-U-N-S. NUMBER N° 542472212-SIC9199 qui agit pour lui même et dont la finalité est de faire du profit.
Vue que toutes les administrations de « l’État Français » sont constitués en sociétés : « ASSEMBLÉE NATIONALE » SIREN 110 000 015, « DIRECTION GÉNÉRALE DES FINANCES PUBLIQUES » SIREN 130 004 955, « MINISTÈRE DE LA JUSTICE » SIREN 110 010 014, la « POLICE NATIONALE » SIREN 120 015 011, la « DIRECTION GENERALE DE LA GENDARMERIE NATIONALE – DGGN » SIREN 157 000 019 … qui agissent pour eux même et dont la finalité est de faire du profit.
Vu que toutes les corporations, ainsi que tous les États déclarés sous la forme de sociétés ont été officiellement forclos en 2012 (UCC Doc # 2012127914 Nov. 28, 2012), l’État Français n’est plus l’organisme légal qui gouverne le pays « France » depuis cette date.
Vu le refus du peuple français de ratifier le traité de Rome II à 54,68 % en 2004 et la forfaiture du traité de Lisbonne décrété et signé le 13 décembre 2007 par Nicolas Sarkozy en ignorant l’avis des français.
Vu la corruption généralisée des « Élites » qui prétendent diriger la « France ». Vue leur capacité à capter l’argent du peuple plutôt que l'administrer en bon père de famille.
Vu que le dit « Président » est en réalité le Président Directeur Général de la société « RÉPUBLIQUE FRANÇAISE PRÉSIDENCE » et qu’a ce titre il décrète le règlement intérieur frauduleusement appelé « lois ».
Vu la déclaration du 12 juillet 2021 du Président Directeur Générale de la société "République Française Pésidence" qui s'affrachit de tout respect de la pseudo constitution Française, déclarant par cet acte que la pseudo constitution est obsolète, nulle et non avenue.
Vu le caractère pervers et compromettant de ces « dites » lois qui contraignent au lieu de protéger.
Vu la forme particulièrement odieuse de diriger le peuple en le soumettant par la peur, la coercition, le mensonge, la menace de privation de liberté, la menace de sanctions pécuniaires, le tabassage, la mutilation, le meurtre.
Vu la propagande pernicieuse pour toutes sortes de dépravations qui détruisent l’honneur de tout être humain et compromettent son éternité.
Vu l’utilisation du mensonge, de la tromperie et et de la dissimulation pour conduire les citoyens à se comporter de façon prévisible, ainsi que toute autre forme d’ingénierie sociale utilisant le contrôle mental pour annihiler le libre arbitre et la pensée critique.
Vu la loi du 6 fructidor de l’an II (1794) qui fait la passation du nom d’usage au nom de famille, permettant à l’État de revendiquer la propriété de ma personnalité juridique. Cette fiducie qui fait de moi le titulaire de cette personnalité juridique s’est faite sans mon consentement. Trois conditions sont exigées pour la validité d’un contrat (article 1128 du Code civil) :
- le consentement des parties
- leur capacité de contracter
- un contenu licite et certain.
Aussi je considère qu’aucune de ces conditions n’est respectée, ce contrat n’est pas valide et constitue un DOL.
Déclaration
Je proclame que, moi, Jérôme, être humain fait d’os de chair et de sang, qui vit et qui respire, reprend la pleine propriété de la personnalité juridique « JÉRÔME DOMINIQUE MERCIER » usurpé par DOL par la société « RÉPUBLIQUE FRANÇAISE PRÉSIDENCE ». Pour mémoire, la personnalité juridique « JÉRÔME DOMINIQUE MERCIER » est déposée auprès de la Common Law Court sous la référence FN/21/437731.
Je me réserve le droit inaliénable de représenter, ou non, cette personnalité juridique me permettant de jouir de certains droits tout en refusant des obligations qui restreindraient ma liberté d’être humain. Je reste seul juge d’en apprécier le bénéfice et nul ne peut s’y opposer.
Je proclame également que je suis propriétaire de l'identité numérique construite à partir de données qui m'ont été empruntés de façon frauduleuse et que j'administre cette identité numérique de la même manière que ma personalité juridique.
La proclamation des mes droits et devoirs sont publiés dans un autre document.